Gratte Ciel

Gratte Ciel est une nouvelle Compagnie qui développe des spectacles aériens en posant la question d'un cirque d'espace public. Notre langage est né de la transposition des savoir-faire de la culture "plein air" dans l'espace urbain.

La lecture des lignes architecturales est une évidence graphique qui révèle et découpe des espaces aérés dans lesquels nous nous sommes toujours exprimés. Pour beaucoup, le vide est synonyme de risque. Pour nous, il est un espace d'expression pour une poétique aérienne qui nous permet de métamorphoser notre rapport à la ville.

Gratte Ciel réunit des grimpeurs, des circassiens et des danseurs qui travaillent à s'approprier l'architecture urbaine comme base scénographique pour un cirque aérien à grande hauteur.

La direction artistique de la compagnie Gratte ciel est portée par Stéphane Girard.

En 1995, Stéphane Girard rencontre Pierrot Bidon avec qui il écrit « Le Forgeron du temps », 1ère création de la Compagnie Oère. S'en suivent, 15 ans de complicité artistique avec la création des Studios de Cirque en 2001. Ils cosignent « La Grume », « Circo da Madrugada », « Place des Anges », « Terre fantôme ».

En 2013, il fonde la compagnie Gratte Ciel.

SPECTACLES ACTUELLEMENT EN DIFFUSION

Place des Anges

Spectacle à grande hauteur sur tyrolienne - 35 min. - Extérieur, de nuit

2 formats : installation in situ ou petit format.

Auteurs : Pierrot Bidon et Stéphane Girard

Place des Anges est un moment qui apaise les âmes, un de ces instants que l'on garde précieusement au creux de la vie.

Allégorie pacifiste, les anges sont porteurs d'une douceur joyeuse. Ils envahissent le ciel et jouent de leur apesanteur. Ils tracent la nuit de nuées blanches.

Des plumes, des tonnes de plumes dont le public se saisit à pleines mains pour mieux distiller son bonheur.

Le Grand Sot

Création 2014

Spectacle aérien - 30 à 45 min. - Extérieur, jour ou nuit

Deux clowns apparaissent et disparaissent sur les toits. Ils se croisent, s'ignorent et parfois se saluent, ils se jouent de la gravité en se bousculant, basculants aux fenêtres, aux façades... Puis, fascinés par un objet rayonnant suspendu au centre de la place, ils entament leur descente.

Ensemble, ils convergent vers « la grappe » et, s'en approchant, un lien étroit se tisse entre les deux personnages qui, dorénavant, ne s'ignorent plus mais au contraire, devant cet objet de fascination, les acrobates se jettent des regards remplis d'empathie et commencent leurs numéros de corde lisse et de 'bongies' (élastiques).